Made using ableton 6, quite a fair few vsti's including a vanguard, z3ta and that sort of thing. Yet more cut up drumloops i've got floating about and more beer (beer is always very important in these operations). It's basically my little journey through a genre that I dont really touch on much anymore and came around entirely by accident (especially the final section which you "Might" recognise from somewhere else) .. I quite enjoyed making it so hopefully you'll enjoy listening to it. Shouts to everyone at scene sat, remix 64, retro remakes, alex aris, ovine, retrospec, psytronik, all the spanish remakers ive worked with who's names are too numerous and well.. spanish for my pathetic english brain to remember (but they know who they are), my friends on facebook, anyone thats a fan, my twitter buddies, dan franklin, bassline junkie, anyone who has ever supported the scene, and even those that don't and this time I'll add all my family and friends and especially Donella who without her sunny disposition I would definitely be a much more angry man (And if you've ever read some of my facebook/twitter rants you'll know the idea of me being more angry is quite a scary prospect).
Certains artistes sont plus performants quand ils font cavaliers seuls et LukHash en fait partie. GHOSTS était sans conteste un bon album mais le format de la chanson l'obligeait à se brider. Dans BETTER THAN REALITY, excepte sur "WE ARE FOREVER", le chant s'en va (même les samples vocaux sont très rares), le croisement entre la chiptune et la synthwave reste et LukHash nous met dans l'ambiance avec des sons rétros qui semblent tirés de VHS. La production retrouve sa puissance. Irréprochable ! Jordan Vauvert
GHOSTS : un titre idéal pour un album sorti en octobre mais pas que. LukHash change de stratégie et fait appel à plusieurs chanteurs et chanteuses — et je ne parle pas de voix passées au mixeur mais bien de vraies performances vocales — ce qui nécessite un ajustement : il se fait plus discret et donc disparaît, en un sens. Il adopte aussi un style plus occidental avec une synthwave influencée par les années 80. Bref, LukHash s'obstine à toujours prendre des risques, c'est son grand point fort ! Jordan Vauvert
Contrairement à ce que le titre peut laisser croire, le Sound Interface Device de la Commodore 64 n'est pas la seule composante de C64 ReMIXed car LukHash le croise avec de l'electro. Par contre, cette compilation regroupe ses premières entrées dans un univers plus synthwave : c'est rythmé et super efficace ! Pour faire simple : prenez l'énergie contenue dans un pain de C4, multipliez là par seize et vous obtiendrez celle transmise par C64 ReMIXed. Cette compilation est aussi bonne que ça ! Jordan Vauvert
The bright, fizzy songs on “Dedication 2” were written and played using the Commodore 64, capturing the vintage computer’s feel. Bandcamp New & Notable May 9, 2021
Fragile, breathtaking music from French American artist Lyli J, lit up by softly glowing synths and gentle vocal melodies. Bandcamp New & Notable Mar 11, 2024
Du point de vue du simple spectateur, le glitch est la porte d'entrée vers un spectacle visuel. Grâce à des manipulations absurdes et extraterrestres, le speedrunner accède à l'envers du décor, dans un monde liminal au pire, psychédélique au mieux. Dans son cinquième album GLITCH, LukHash emploie la même stratégie pour créer un spectacle musical. C'est une accumulation d'éléments hétéroclites — chiptune, dubstep, metal, jazz, amen breaks et j'en passe — et on a des étoiles plein les oreilles ! Jordan Vauvert